Depuis de nombreuses années, l’homme se sert de certains éléments pour embellir son corps. C’est ainsi que dans chaque culture, il existe une particularité de style et de goût. Ce qui signifie que pour déterminer l’appartenance à un groupe, un clan, et même une société entière, il fallait un signe distinctif. De ce fait, les signes distinctifs d’appartenance à un groupe se reconnaissait par la transformation du corps pour donner une image, une trace et/ou des cicatrices. Mais aujourd’hui, ayant évolué, la confusion est presque parfaite.
Le tatouage comme style d’appartenance.
Le tatouage est par définition des dessins ou des écrits que l'on se fait taguer sur le corps. Ainsi, dans une société bien connue du Japon, les tatouages avaient une valeur inouïe et dont le groupe d’appartenance y tenait vraiment. Dans cet élan, il avait une forme d’idéologie particulière. Ce clan était nommé yakuza. Avec le temps, cette forme d’expression et de langage faisait montre d'une certaines force et suprématie pour dominer sur les autres clans. Une histoire qui leur est propre.
L’évolution de la conception, le tatouage comme camouflage
De nos jours, les tattos sont utilises pour embellir la peau ou le corps tout entier. C'est devenu un buzz, un délire pour paraitre plus beau et/ou plus intéressant que les autres sur un plan socio-culturel. Tout compte fait, le tatouage requiert une importance bien particulière et qui peut permettre à certaines personnes de ne pas se cacher du monde. C’est ainsi que pour cacher des cicatrices des coups pour les femmes battues, il est désormais possible avec les tattos de camoufler ces marques qui déforment la beauté du corps. Alors, les tatouages prennent un sens d’analyse que celui qui leur donnait un aspect négatif. C’est une façon de venir en aide aux personnes soumises à de tels sévices corporels.